Les éclaircies succèdent aux nuages toute la matinée. Je profite de la lumière quand le soleil veut bien éclairer le décor.
Le Perollier dans la gueule du monstre.
Les conditions sont excellentes, occasion de changer de vallon et de monter dans celui du Grand Sorbier. Ici dans le verrou au dessus des lacs Robert souvent monté à l'aide de ferrailles diverses: couteaux voire crampons. Inutile aujourd'hui, 30 cm de poudreuse sécurisent une éventuelle glissade.
Vallon suspendu avec vue sur la capitale alpine.
De nouveau la pente se redresse.
La brèche photogénique un peu au dessous du sommet,
ou nous n'irons pas. C'était un peu le bazar. Une chute assez impressionnante mais sans gravité sous la corniche d'un skieur (Gilles du DSA pour ne pas le nommer) avec un ski qui dévale dans la combe, bloque psychologiquement une skieuse. Elle attendra que son compagnon remonte la chercher à l'aide d'une corde. On passe donc notre tour pour les 50 derniers mètres et profite des" événements " pour se gaver dans les premiers de la "peuf" de la combe.
Parfait!
Retour au lacs puis détour par les Vans pour valider le "mashup" du jour.
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