dimanche 29 juin 2014

...où l'on court avec les truites.

Les lévadas ne peuvent pas passer par les sommets, nous si!
Souvent dans la brume comme la plupart des îles, nous avons eu la chance d'avoir des éclaircies
 permettant d'apprécier
le gaz environnant...
...ou pas!
L'île a été la proie d'incendies aussi dévastateurs que criminels, certains durant plusieurs années. Cela donnent des forêts "squelettes" jolies mais désolantes.
 Retour sous la brume,
dans les tunnels et
sur les lévadas,
dans une ambiance tropicale.
De petits curieux peu farouches
Beaucoup plus sauvages, les nombreuses truites ondulant dans les lévadas avec lesquelles nous jouons au plus rapide (pas gagné souvent). Elles sont à moins d'un mètre de nous et filent en voyant notre ombre. Marrant.
Descente au bord de l'océan en fin de journée, peu de plage sur Madère mais de superbes piscines d'eau de mer qui se remplissent au gré des marées. L'eau y est plutôt fraiche mais quel plaisir après une journée de trail.
La descente sur Porto Moniz fait passer la pente de notre Bastille grenobloise pour les berges de l'Isère! On comprend mieux l’absence de vélo.
Vue de la piscine.
On garde son parapluie même par beau temps, au cas où.
Un dernier tour en montagne en passant par des champs d'éoliennes. A ce sujet les portugais ont vraiment plein de choses à nous apprendre au niveau écologie (solaire, éolien, récupération, propreté, transport en commun, etc.). 
Les nuages venant du Nord essaye de passer les lignes de crêtes, aujourd'hui pour notre plus grand plaisir, ils n'y parviendront pas.
C'est grand beau pour profiter des superbes chemins pavés.
le Pico Grande
sera notre ultime sommet.
Retour paisible par le chemin de la factrice (non, là c'est Annick). Enfin ça, c'était avant.
Maintenant les déplacements sont plus rapides...(vaste débat!)

samedi 28 juin 2014

l'île aux fleurs


C'est parti pour notre première lévada, c'est souvent très confortable pour courir, même si parfois,
il vaut mieux regarder où
l'on met 
les pieds.
Les paysages sont toujours aussi beaux en bord de mer.
En montagne l'ambiance change,
Le rythme est haché par de nombreux tunnels. Là c'est le premier.
Celui ci fait 2,5km et nous y resterons 35 minutes. Difficile de courir pliés en deux sur un sol glissant avec des traverses de rails tout du long.
Par ici la sortie!
Comme Tintin dans le Temple du Soleil.
C'est reparti. Ah oui l'île aux fleurs...
 Vipérine

 Pâquerettes?
Joubarbe
 Digitale
 Oiseau de paradis
 Arum
 Fougère arborescente.
La suite de la visite se passe un peu plus haut.


vendredi 27 juin 2014

Madère: présentation.

Une île volcanique c'est toujours un  lieu propice à la balade, voire à la montagne. Madère a un plus: ses "levadas", canaux creusés dans la roche volcanique et irriguant les parties basses pauvres en eau. Elles sont parfaites pour le trail car très roulantes. C'est parti pour une semaine de course à travers ce magnifique confetti en atlantique. A travers est d'ailleurs bien le mot, car nous emprunterons de nombreux tunnels creusés par des générations de madereins (?), dont le plus long fait 2,5km.

C'est là que cela se passe. Attero assez pointue en  rasant les montagnes (le 737 et ses ailes tordues laissent un peu de marge...).
Pas beaucoup de plat sur l'île (vu aucun vélo en 8 jours!), c'est la dessus que l'on se pose. Vaut mieux le voir après.
Plage de sable aussi rare (2!) que non naturelle. 

                                                                  Un peu de couleur
                         Premier petit tour sur la pointe de l'île Sao Lourenço pour se dégourdir les jambes.

                                               Enfin, on prend le temps pour les photos
 parce que c'est bô!
non?
                                                                      une oasis
Vestiges
Aquaculture.
(la suite, tout de suite)