vendredi 21 novembre 2014

"les neiges du Chimborazo"

 Transfert à Riobamba pour la dernière bambeé de notre séjour en Equateur: le Chimborazo.... La veille, petite reco du départ, la météo n'est pas franchement top mais cela devrait se découvrir comme chaque soir après le petit dej. Les vigognes, elles, cela ne les dérangent pas.
 Enfin cela devrait.."Etoileeuuuuuuuuuuh des neigeuuuuuuuuuuuuuh", à 4800m au départ, c'est pas gagné...
5500 m, la lune arrive, la bonne étoile qui nous suit depuis le début, aussi. C'est encore avec le lever du soleil que nous arrivons sur le point haut du pays : 6300m. Heureux! (p... ça caille grave)
 Au fond le Cotopaxi (logique)
 Les guides tout aussi ravis que nous
 Les conditions, parfois délicates dans cette face souvent en glace, qui arrêtent une cordée sur deux, sont ce jour excellentes grâce à la fraiche tombée pendant la nuit. La Pachamama est avec nous. Merci à elle.
 On devine le refuge et même notre "shaker" 1500m plus bas.
 Annick aura fait la trace derrière le guide pendant 1000m, elle laissera sa place, bien entamée, pour les 50 derniers mètres. Nous descendons tranquillement en profitant de cette belle face.
Au milieu des séracs.
 Le petit lac, point de mire de la descente
 Là aussi, l'itinéraire très "parpinogène", peut poser des problèmes en cas de faible enneigement. Ce n'est pas le cas aujourd'hui.
Pas vraiment vif le coyote, les bip-bips peuvent baguenauder peinards.(en même temps avec tout ce que lui donne le gardien de la cabane au départ, il n'est pas vraiment affamé).
Fin de séjour dans la région de Banos. Fin de la caillasse et de la glace, voici la forêt tropicale.
La vallée encaissée ne propose qu'une route sur la rive gauche , pour voir de l'autre côté: le cable.
Avocats
fleur rouge
Fougère arborescente
Vous avez la même à la maison!
Intérieur de fleur rouge
Banos
Repas chez Ugo, notre chauffeur. Madame Ugo nous a régalés.
Bain d'eau du volcan, trop bon pour se délasser
Petit souci mécanique, seulement les freins qui ont tendance à ne plus faire leur boulot dans une descente, la Pachamama veille toujours.

FIN

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