On prend les mêmes et on recommence: coureur.euses, beau temps, carrelage à tous les étages, copain.ines au bord du tracé, peur de s'en mettre une, grosse fatigue et grand plaisir.
Tout est en place: 3,2,1...
parti! Où l'on retrouve les mêmes avions de chasse devant.
Option crampons, pour éviter la surchauffe des bras
et mollets dans la première bosse.
Première section en peaux avant
le portage qui
nous emmène
à la Dent de Bédina.
Petite descente à pieds
puis on chausse pour dévaler le vallon du Vénetier,
qu'il ne nous reste qu'à remonter...
L'hélico vient chercher une "épaule". Rien de grave ne se produira pendant ces deux journées tendues pour l'orga et les coureur.euses, "allumettes" aux pieds. Une cheville, une épaule et pas mal de casse de matériel.
La neige se ramollit, les muscles aussi, l'une compensant un peu l'autre.
Pierre au frais depuis quelques heures et toujours avec le sourire.
Pas le cas de tout le monde. On commence à entrer dans le dur...
Dernière corde fixe,
dernière descente en béton qui fait tomber les chaussettes au fond des chaussures.
Olivier, toujours appliqué, rapide et efficace jusque dans la dernière manip de cette Belle Étoile.
Merci et bravo à lui qui a su me tracter psychologiquement du haut de
ces (presque) 80 ans. J'ai un peu compensè, parfois, avec une aide "élastique".
Il a bien mérité tous les encouragements des coureur.euses et des bénévoles au bord de la course.
Ouf, c'est fini. Bien "rotis".
Encore la force de faire le groupie. Marie Dorin quintuple championne du monde participait à sa première course.
*: nom de l'équipe pour la BE