Les lévadas ne peuvent pas passer par les sommets, nous si!
Souvent dans la brume comme la plupart des îles, nous avons eu la chance d'avoir des éclaircies
permettant d'apprécier
le gaz environnant...
...ou pas!
L'île a été la proie d'incendies aussi dévastateurs que criminels, certains durant plusieurs années. Cela donnent des forêts "squelettes" jolies mais désolantes.
Retour sous la brume,
dans les tunnels et
sur les lévadas,
dans une ambiance tropicale.
De petits curieux peu farouches
Beaucoup plus sauvages, les nombreuses truites ondulant dans les lévadas avec lesquelles nous jouons au plus rapide (pas gagné souvent). Elles sont à moins d'un mètre de nous et filent en voyant notre ombre. Marrant.
Descente au bord de l'océan en fin de journée, peu de plage sur Madère mais de superbes piscines d'eau de mer qui se remplissent au gré des marées. L'eau y est plutôt fraiche mais quel plaisir après une journée de trail.
La descente sur Porto Moniz fait passer la pente de notre Bastille grenobloise pour les berges de l'Isère! On comprend mieux l’absence de vélo.
Vue de la piscine.
On garde son parapluie même par beau temps, au cas où.
Un dernier tour en montagne en passant par des champs d'éoliennes. A ce sujet les portugais ont vraiment plein de choses à nous apprendre au niveau écologie (solaire, éolien, récupération, propreté, transport en commun, etc.).
Les nuages venant du Nord essaye de passer les lignes de crêtes, aujourd'hui pour notre plus grand plaisir, ils n'y parviendront pas.
le Pico Grande
sera notre ultime sommet.
Retour paisible par le chemin de la factrice (non, là c'est Annick). Enfin ça, c'était avant.
Maintenant les déplacements sont plus rapides...(vaste débat!)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire